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G6/ Chapitre 17 - Frères et sœurs

  • Photo du rédacteur: Nathalie986
    Nathalie986
  • 9 mars
  • 10 min de lecture

Dernière mise à jour : 16 mars


Le temps passait. Léandre voyait Maewenn, de plus en plus souvent, et son amour pour elle n’avait pas l’air de faiblir. Je le soupçonnais de passer autant de temps sur le tapis de course, pour se rendre plus désirable aux yeux de la belle.


Christian, lui restait plus souvent à la maison qu’il n’allait au travail, car beaucoup de son travail de programmation pouvait se faire depuis n’importe quel ordinateur. C’était du pain béni pour moi, car il m’aidait ainsi beaucoup pendant la journée, organisant ses heures de travail plutôt le soir.


De mon côté, je cherchais à élaborer de nouvelles recettes, afin d’établir une nouvelle carte pour le restaurant. Je comptais la modifier, à chaque saison. J’avais un peu de temps, l’hiver n’était pas encore là.

 

Christian ét moi étions vraiment pris par nos occupations. Heureusement, les enfants étaient autonomes.


Ils faisaient leurs devoirs d’eux-mêmes, sans qu’on ne leur demande rien. Et ils savaient s’occuper seuls. Alors que Léandre faisait du sport, chantait ou jouait de la guitare, Morgane, elle, jouait sur sa tablette, ou avec son kit de médecin.

 

Nous arrivions, quand même, à nous ménager quelques instant, rien qu’à nous, en amoureux.

 

-          Cassandre... Je ne me lasserai jamais de t’embrasser... Je t’aime tant.

 

De petits moments magiques, alors que les enfants sont encore à l’école... Des instants précieux pour ne pas oublier que nous nous aimions.


-          Que j’aime ces moments où tu n’es rien qu’à moi...

 

Ce soir-là, Léandre devait sortir avec Maewenn et Yann, à l’Usine. Les deux amoureux se plaignaient régulièrement d’avoir sans cesse Yann dans leurs jambes. Dès que Yann savait que sa sœur avait un rendez-vous avec mon fils, il s’invitait invariablement, et leur tenait compagnie, bon gré, mal gré. Cette situation commençait vraiment à les tourmenter.

Nos deux tourtereaux espéraient donc que cette sortie serait une occasion pour le « caser » avec une fille. Léandre ayant beaucoup d’amies parmi les lycéennes, Maewenn lui avait demandé d’inviter quelques-unes d’entre elles, en discothèque, afin de les présenter à Yann.

 

C’est donc ainsi que Yann fit la connaissance de Suzanne Mercier, Lola Garnier, Léa Frémont, Béatrice Morel et Marie Roussel, toutes des copines de classe de Léandre.

De leur côté, Lilith et Angela avaient profité pour se faire une soirée discothèque entre sœurs tout en jouant les chaperons !


Léandre reconnut Caleb sur la piste. Il se rappela qu’il avait été notre pianiste le jour de mon anniversaire et décida d’aller le saluer.


Puis les enfants s’étaient dirigés vers le bar.


L’air de rien, Marie s’était assise à côté de Yann... mais elle ne semblait pas l’intéresser.


Béatrice avait ignoré le propos de Yann, et poursuivi sa conversation avec Maewenn, qui lui rappela que leur mère, et leur tante, étaient là pour les chaperonner.


A la fin de la soirée, Léandre ramena Yann et sa sœur jusqu’à leur domicile. Il s’était même risqué à embrasser Maewenn devant Yann, qui ne put s’empêcher d’intervenir.




Ce matin-là, Christian et moi prenions un café au Burger Sims avec nos meilleurs amis. Léandre nous avait tout raconté de sa soirée, et Maewenn en avait fait de même avec sa mère.


Mes amis comptaient beaucoup pour moi, et j’aimais quand nous nous réunissions. Et ces derniers temps, nous avions besoin de nous changer les idées.


Le temps passait tellement vite. Certains de nos amis vieillissaient tandis que d’autres nous avaient définitivement quitté et, chaque fois que nous nous rencontrions, c’était à un enterrement. Emilie avait perdu son mari le mois dernier. Nous avions également perdu Georges Saurel, Henri Lefebvre, Stéphane Blanc et Anaïs, notre amie Anaïs. Elle laissait son mari seul, avec leur fils Brice.

 

Nous ne voulions rater aucune occasion de passer de bons moments ensemble.

 

Après avoir charrié un peu Alexis, nous discutâmes encore un peu, dansâmes une bonne heure puis nos invités prirent tranquillement congé.


Ce samedi après-midi, Maewenn et Léandre avaient décidé d’emmener Gildas, Morgane et Antonin au parc. Mais ils étaient, une nouvelle fois, affublés de leur chaperon personnel : Yann.

-          Je suis désolée mais je n’ai pas réussi à le dissuader de venir.

-          T’en fais pas. Je m’en doutais un peu.


Gildas avait fêté son anniversaire récemment et pouvait maintenant jouer aux mêmes jeux que son cousin Antonin, et que Morgane. Yann murmurait dans son coin.


Léandre et Maewenn n’en revenaient pas. Yann avait invité une fille. Leur plan à la discothèque avait donc fonctionné !


Pour épater Béatrice, Yann alla même jusqu’à jouer les monstres de l’espace, ce qui fit bien rire Léandre.


-          Je ne suis pas sûr que Béatrice soit sa copine. Je n’ai rien vu, de près ou de loin, qui ressemble à une amourette.

-          Peut-être sont-ils discrets ?


-          En tous cas, il est quand même venu avec nous, une nouvelle fois. Franchement, quand tu as une copine, tu as envie de la voir seul. Tu ne l’invite pas au parc avec plein de gamins autour !

-          Vous l’avez bien fait, Maewenn et toi.


-          Oui, mais on est ensemble depuis un moment. Et Morgane est ma sœur, Gildas son frère, et Antonin son cousin. Ce n’est pas pareil.

-          Je crois franchement que tu devrais parler à Yann.


-          Je sais déjà ce qu’il va me dire !

-          C’est faux. Comment pourrais-tu le savoir ?

-          Il va me ressortir le couplet sur le fait qu’il protège sa sœur.

-          Tu n’as même pas essayé de parler sérieusement avec lui.


-          Fais-le venir à la maison. Demain. Ton père et moi emmenons Morgane à la piscine. Vous serez tranquilles. En plus, ça fait combien de temps que vous ne vous êtes pas vus tous les deux, seuls, sans Maewenn ?

-          Je ne sais même plus.

-          Tu vois ! Ça ne peut que vous faire du bien.

-          Tu as raison, Maman. Tu es géniale ! Je vais appeler Yann tout de suite.


Léandre entra très vite dans le vif du sujet.

-          Voilà, je t’ai fait venir pour que tu m’expliques un truc. Pourquoi tu es toujours dans nos pattes à Maewenn et à moi ?

-          Et moi qui pensais que tu voulais juste me voir...


-          Nous sommes meilleurs amis, non ? Pourquoi as-tu si peu confiance en moi ? J’aime Maewenn. Je ne lui veux aucun mal. Et tu te comportes comme si j’étais ton ennemi.


-          C’est bon ? Tu as fini ? Je peux parler maintenant ?


-          Je ne te considère pas comme mon ennemi, et je sais que tu ne feras pas de mal à ma sœur. Et si je viens toujours avec vous, ce n’est pas pour vous surveiller.

 

-          Mais tu n’arrêtes pas de dire que tu veux protéger ta sœur...

-          Parce que si je te donne la vraie raison, tu vas me prendre pour un idiot.


-          Arrête de dire n’importe quoi. C’est quoi, cette vraie raison ?

-          Depuis que tu es amoureux d’elle, on ne se voit plus. Même quand tu viens à la maison, c’est pour la voir, elle. Alors, j’ai trouvé cette excuse pour quand même te voir, et passer du temps avec toi.


-          Mais ce n’est quand même plus pareil. On ne fait plus des trucs de potes, comme avant.

-          Mince... Je ne m’en étais vraiment pas rendu compte. Je suis désolé.


-          Ça, j’ai bien vu. Mais ce n’est pas grave. Je me suis habitué.

-          Si, c’est grave. A partir de maintenant, ça va changer. Quand je verrai Maewenn, je verrai Maewenn. Mais il faudra qu’elle s’habitue à me voir un peu moins car nous ferons des sorties, seuls, tous les deux, toi et moi, sans elle. Et il y aura d’autres moments où nous serons tous les trois.


-          Tu es sûr ? Tu as l’air si proche d’elle...

-          Oui, je suis sûr. Je ne veux surtout pas perdre ton amitié.


-          Pardonne-moi, Yann.

-          C’est déjà fait, mon pote.


-          Ça te dit une soirée babyfoot à l’Auberge, ce soir ?

-          Carrément ! Babyfoot et bière, tu veux dire ?

-          Evidemment ! Sinon, ce ne serait pas une soirée !


Ce jour-là, nous fêtions l’anniversaire de Morgane. Elle avait aidé Christian à mettre les décorations, pendant que Léandre m’aidait en cuisine.

-          Papa, c’est trop beau ce qu’on a fait !

-          On a travaillé comme des pros, ma chérie.


Léandre n’était pas du même avis :

-          C’est... rose ! dit-il en roulant des yeux.

-          Ta sœur est une fille. Ne l’oublie pas.


-          Papa, tu crois qu’il faut encore rajouter des ballons ?

-          Non. Je ne pense pas que ce soit nécessaire.


-          Les invités peuvent arriver maintenant, alors !

-          On va aller se changer, d’abord. Ensuite, ils ne tarderont pas à venir.


Lorsque Mégane grandit, je pus constater qu’elle avait tous les traits de son père. Elle lui ressemblait énormément.


La nuit était déjà tombée sur Windenburg lorsque s’acheva cette belle journée d’anniversaire.

-          Il n’y a plus qu’à ranger, et enlever les décos, maintenant...


Au fil du temps, Léandre et Morgane devinrent l’un pour l’autre des confidents.

-          Tu vois que c’est important de se dire les choses.

-          Ça m’aura servi de leçon. Jamais je n’aurais imaginé que Yann faisait tout ça, pour seulement être avec moi.


-          C’est vrai que vous, les garçons, vous ne dévoilez pas beaucoup vos sentiments.

-          On garde tout pour nous. Mais on ne devrait pas.


-          Et Maewenn ? Comment a-t-elle pris la chose. Vous devez vous voir moins souvent du coup.

-          Elle est super. Elle a très bien compris. Et, au contraire, elle préfère me voir seul, un peu moins souvent, mais profiter réellement de moi.

 

-          Pas de bêtises, hein ?

-          Petite sœur, c’est moi qui devrais te dire ça. Je m’approche de l’âge adulte, moi.


-          Je sais bien mais Yann t’en voudrait énormément.

-          Oui, mais j’aurais surtout peur d’Aldéric !

 

-          C’est pas faux.

-          De toute façon, je respecte trop Maewenn pour faire n’importe quoi avec elle.


La situation s’était vraiment apaisée dans le trio Yann, Léandre et Maewenn.

Les garçons avaient pris l’habitude de faire des sorties de garçons, à deux. Certes, ces sorties étaient souvent bien arrosées, mais ils pouvaient partager leur grande amitié masculine, sans fille au milieu.


Après ces viriles soirées, Léandre appréciait le calme et la douceur de ses rencontres avec Maewenn.


Ils pouvaient enfin vivre de précieux instants qui ne seraient dorénavant plus entachés par la présence de Yann.


Un intimité bien méritée...


Et, malgré tout, ils continuaient à sortir ensemble, tous les trois, pour passer des moments où chacun s’appréciait...

Et où personne ne regrettait la présence de l’un ou de l’autre.

 

Ce jour-là, Christian et moi avions « convoqué » les enfants pour une réunion de famille au bazar Chevalier. Léandre allait bientôt quitter l’adolescence, et il devenait urgent de savoir où ils se situaient, par rapport à leur désir de devenir ou non le prochain Elu.

Le bazar familial n’était plus un magasin depuis longtemps. Ma mère en avait cassé des murs afin d’agrandir le cimetière, comme elle l’avait promis à sa mère. D’ailleurs, nous ne l’appelions plus le bazar mais bel et bien le cimetière.

De mon côté j’avais revendu tous les objets inutiles qui s’y trouvaient, et conservé uniquement les objets choisis par chaque Elu, à chaque évolution de notre monde.

C’est pour cette raison que j’avais trouvé opportun d’amener tout le monde ici pour une telle conversation.

-          Pourquoi tu nous as fait venir ici ? demanda Léandre On y vient que pour les enterrements normalement ?

-          Tout à fait. Et je vais bientôt enterrer ma vie d’Elue. L’un de vous deux prendra la suite. Alors je voulais un peu vous montrer les objets choisis par les précédents Elus, chaque fois qu’un pan de notre monde a été récupéré.

 

-          Ici vous avez l’antenne satellite d’Angélique. C’était une grande scientifique. C’est aussi elle qui a découvert Sixam. Elle a créé cette antenne principalement pour empêcher les enlèvements extraterrestres. Elle a d’autres fonctions mais je ne les connais pas.

 

-          Et là, vous avez le tout premier ordinateur de la famille, celui de Perrine, notre fondatrice. Elle est arrivée sans rien et a dû travailler dur pour se l’acheter. A côté, ce sont les platines de votre grand-mère Linette, dont l’un des objectifs était t’atteindre le niveau dix de la compétence DJ.

 

-          Et elle y est arrivée à force de travail acharné. Et juste là, c’est la glacière de Maxime. Il était un grand amoureux de la nature et allait souvent en vacances à Granite Falls. Cette glacière le suivait partout.


Léandre n’avait toujours pas répondu à ma question...


C’était un plaisir de voir le frère et la sœur s’entendre aussi bien. Un vrai régal pour nous.


Je sortis un des chevalets que j’avais pris au restaurant, un chevalet portant le menu de la saison.


Dans la semaine, Christian et moi avions enfin vendu la boulangerie.

Elle nous avait rapporté 183 378 § ; et les fonds de notre foyer s’élevaient à présent à 617 901 § ! J’étais assez fière de moi car j’avais presque récupéré la fortune initiale laissée par mon ancêtre Maxime à ma grand-mère Michèle. Ils s’élevaient alors à 672 796 § !

Il me restait encore près de 55000 § à récupérer mais je doutais d’y arriver.

Ce que nous savions, Christian et moi, c’est que nous ne laisserions pas nos enfants dans l’embarras.

Les fonds que nous avions amassé, même à se partager, permettrait à nos enfants de vivre à l’aise durant des années avec leurs propres enfants, et même leurs petits enfants. Et s’il y avait besoin, ils pourraient même vendre le restaurant.

 

Mais, ce matin-là, il allait falloir leur annoncer que la boulangerie Jules, celle de Mamie Linette, était vendue...

Et moi qui croyais que c’était Léandre qui aurait fait le plus de difficultés...



Léandre s’était mis à courir...


Et à courir encore. Il avait dû écumer tous les endroits insoupçonnés de Windenburg. Il avait dit vouloir entretenir son corps. Et il s’y astreignait, tous les matins, avant d’aller au lycée. Mon fils souhaitait, avant toute chose, un corps entretenu avant de devenir adulte, et ce, afin de plaire à sa future femme, avait-il dit : Maewenn.

 

Au petit déjeuner, le matin des anniversaires de Christian et de Léandre, ce dernier nous annonça qu’il avait reçu la visite du Créateur dans la nuit.


J’essayais de rester optimiste, pour Léandre, mais j’étais tout de même un peu inquiète.


La journée passa très vite et nos invités arrivèrent en début de soirée, comme prévu.

Angela et Aldéric étaient venus avec Maewenn et Yann, Corentin et Lilith, avec Antonin qui était devenu un bel adolescent. Daniel était venu seul car Cyrielle gardait les enfants. Emilie était venue avec sa fille Suzanne. Nous comptions aussi parmi nous Alexis et Alexandra, ainsi qu’Inès.


Nos deux compères, Aldéric et Corentin, avaient, eux aussi, vieilli.


Les conversations allaient bon train. Becca s’était proposée pour tenir le bar.

 

Et chacun en profitait.


Toutes les personnes concernées avaient pu ressentir le changement : Léandre, mais aussi Morgane, Corentin et Antonin, tous les trois des héritiers, et moi, bien sûr. Une métropole était apparue dans notre monde. Avec des immeubles, des bars à karaoké et des festivals.

Léandre chuchota, soulagé, à son père :

-          C’est bon, j’ai les objectifs.

-          Tu vois, fallait pas s’inquiéter.


Léandre me chercha du regard pour me le dire, et je compris. Mais Daniel nous ramena à la réalité.


Et mon mari bien aimé prit à son tour un coup de vieux...


Mais qu’est-ce qu’il était beau !

  

FIN DE LA GENERATION 6

 

Fonds du foyer finaux :  633 083 §

 

Les objectifs de Cassandre :


Ouvrir un restaurant : Le resto de Windenburg

Développer la compétence Cuisine au niveau 10 : Fait

Développer la compétence Cuisine gastronomique au niveau 10 : Fait

Atteindre le niveau 10 de la carrière culinaire, branche Chef : Chef renommé (fait)

Choisir un objet du pack « Au restaurant » : Menu de table ultra-pratique

 

 

Merci à :

ET :

MAIS AUSSI A :

AVEC LA PARTICIPATION EXCEPTIONNELLE DE:

A suivre avec la génération 7 ! 🙂



3 Comments


Elinoee
il y a 4 heures

Ah, j'adore le casting à la fin de chaque génération, c'est top 😊 Léandre héritier, c'est parfait, ça lui va très bien! Mais pourquoi a-t-il eu ses objectifs en retard? Hâte de voir la suite!

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Eljisim
Mar 10

Quelle belle conclusion de génération ❤️


J'ai beaucoup aimé le moment partagé au cimetière, entre le choix du nouvel Héritier, celui de l'Objet de Cassandre et le rappel de ceux des ancêtres... C'était émouvant !


Quant au dialogue entre Angela qui souhaiterait des bambins perpétuels ponctués du "Sûrement pas !" de Cassandre, c'était cocasse 😂 Les bambins ça va encore, ce sont les nourrissons, les pires, dans ce jeu 😨


Place donc à Léandre pour la G7 ! Comment as-tu choisi, au final ? 😊


Nous disons au revoir à Cassandre et maintenant, place à San Myshuno ! 🏙️ Curieux, en effet, cette histoire d'objectifs confiés sur le tard. Le Créateur attendait certainement la majorité officielle de Léandre mais on…

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Nathalie986
Nathalie986
Mar 14
Replying to

Merci pour ton ressenti sur ce moment familial partagé. Il y a a beaucoup d'échanges entre les enfants et les parents, de bons moments comme je les aime chez nos sims (dans la vraie vie aussi, mais ce n'est pas moi qui l'écris ! 😉)

Cassandre et Angela ainsi que leur descendance directe, ne connaitront pas les nourrissons, et heureusement ! Quelle galère ces ptits bouts 😟 Je t'avoue que je ne suis pas sûre de jouer sur les nourrissons, dans le SBS, avant la la G26... ça va me laisser le temps de voir venir... 😇 Pour la G7, j'ai fait un lancer de dés. Et c'est tombé sur Léandre ! Il n'y a pas de mystère pour objectifs confiés su…

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