G8/ Chapitre 9 - Le sous-sol
- Nathalie986
- 3 août
- 11 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 6 jours
La vie avec Caleb était très agréable et le temps passait très vite à ses côtés.

J’apprenais beaucoup de lui et nous pouvions rester des heures à discuter.

Tout comme je pouvais rester des heures à l’écouter jouer de l’orgue... Sa musique me transportait vraiment. Mon mari était mélomane, cultivé et intelligent.

AVERTISSEMENT DE CONTENU SENSIBLE
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Ce chapitre contient du contenu et/ou des propos pouvant potentiellement choquer ou gêner un public jeune ou sensible (allusions au sexe, à la violence) touchant à des sujets choquants, douloureux ou traumatisants.
Il aimait aussi beaucoup m’embêter, car il savait que je n’avais aucune chance contre lui. Mon mari était joueur, drôle et spirituel.

Mais il était aussi un étalon avec d’énormes besoins.


Avec le sexe, Caleb ne plaisantait jamais. C’était une chose très sérieuse pour lui, qui était en train de le devenir pour moi.

Pour satisfaire les envies insatiables de mon mari, j’avais dû faire des acrobaties dans tout le manoir.

Il ne se lassait jamais et je pouvais subir ses élans de nombreuses fois en une journée. Heureusement, mon corps s’était remis des blessures subies au début de notre mariage. Par contre, avec ce traitement quotidien, je me sentais perpétuellement fatiguée, alors que mon mari, lui était un vampire fougueux et toujours en forme.

Mais mon mari était aussi un gentleman d’une autre époque.

Et je fondais, chaque fois que le seigneur en lui me faisait la cour.

Il me sortait souvent, pour aller au restaurant, ou simplement pour boire un verre. Il n’était pas snob mais il aimait les endroits chics et distingués. Jamais il n’aurait mis les pieds au Burger Sim.

Oui, j’étais heureuse avec Caleb et je ne l’aurais échangé pour rien au monde.

Cela faisait maintenant deux ans que nous étions mariés. Sa promesse de m’aimer n’était pas surfaite. Elle allait au-delà de mes espérances et mon amour pour lui n’en était que plus fort. Je sais pas si un humain aurait été capable de m’aimer de la sorte et, je ne le saurai jamais, car je consacrerai toute ma vie à mon mari.
Pourtant, nous avions eu des hauts et des bas à mesure que Caleb me distillait ses consignes pour que je devienne la parfaite épouse et maîtresse de maison, des moments parfois durs mais jamais insurmontables et il était chaque fois là pour m’aider à surmonter certaines épreuves pénibles que lui-même m’avait infligées. Mais jamais je n’eus à utiliser la pièce qu’il m’avait réservée à l’étage. Je dois d’ailleurs dire que je l’avais oubliée.
Ces derniers temps, je trouvais mon mari changé. Il allait souvent s’isoler dans ce mystérieux sous-sol que je n’avais jamais eu l’autorisation de voir en deux ans de mariage et il ne m’entreprenait plus aussi souvent que d’habitude ; non pas qu’il ait abandonné toutes pratiques amoureuses mais elles étaient devenues celles du commun des mortels. Une fois par jour et principalement le soir, au coucher, dans notre lit. Et il n’était pas question de remettre ça une seconde fois. Heureusement, il avait gardé sa fougue.
Il fallait voir le bon côté des choses. J’avais retrouvé énergie et vitalité. Par contre, j’étais très inquiète car le comportement de Caleb n’était pas normal. C’est ainsi que je m’étais décidée à chercher des informations sur les vampires à l’aide de l’ordinateur puisque je n’avais rien trouvé dans la bibliothèque du manoir.

Mais je ne trouvais rien. Un jour que Caleb était au travail, je m’étais remise sur le sujet. J’y passai une grande partie de la journée et je finis par trouver un blog anonyme qui mentionnait une certaine « Encyclopédie vampirique » en trois volumes ainsi qu’un ouvrage appelé le « Compendium ultime ». Le blogueur précisait que ces éditions étaient très rares, voire impossibles à trouver et je ne sais pas dans quelle mesure cet article était fiable car il avait été écrit il y a plus de vingt ans...

Il fallait absolument que je vois Lilith.

Je marchai d’un pas décidé pour aller rendre visite à ma belle-sœur.

Mais je tombai sur Samuel...
- Si tu comptais voir Lilith, oublie. Elle avait une exposition aujourd’hui. Elle vient de partir.
- Mince... Mais tu pourras peut-être m’aider...

J’invitai alors Samuel à venir à la maison.


Était-ce vraiment aussi simple que ça ?



Samuel se mit à rire de bon cœur.



Samuel prit ensuite congé.



Ses paroles m’avaient beaucoup touchée. Après ma conversation avec Samuel, j’étais déterminée à parler à Caleb. Je ne le lâcherai pas, quitte à payer les conséquences de mon audace.

A seize heures, j’étais fin prête pour attendre mon mari, comme je le faisais depuis deux ans.

- Bonjour mon cœur. Je te trouve radieuse.
- Merci mon amour.

- Qu’y a-t-il de neuf aujourd’hui ?
- Pas mal de choses...

- Tu as l’air bien mystérieuse.

- Tu me racontes ?
- J’ai effectué des recherches sur les vampires sur le net.

Caleb n’avait pas l’air fâché du tout.
- Ça alors ! Et tu as trouvé quelques chose ?
- Pas grand-chose, en réalité. Sauf un petit blog qui parle de l’encyclopédie vampirique et du compendium ultime.

- Ah...
- Samuel m’a dit que ces ouvrages étaient ici, au sous-sol.

A ma grande surprise, Caleb ne démentit pas
- C’est vrai. Ce sont les seuls exemplaires au monde, et ils sont bien à l’abri ici.
- Caleb, j’aimerais beaucoup les lire. Me le permettras-tu ?

- Tu as l’air très enthousiaste en effet.
- Oui, plus que ça, même !

- Je peux savoir pourquoi tu t’informes sur les vampires subitement ?
- Pour mieux te connaître.

Je vis tout de suite que j’avais capté son intérêt.
- Continue.
- Voilà deux ans que l’on est marié, et plus encore que l’on se connait, mais j’ai l’impression de ne pas tout savoir de toi, de ta vraie nature, et j’ai vraiment envie de la connaître.

Un beau sourire illumina le visage de mon mari.
- Tu me fais très plaisir en disant cela, Rose.
- C’est vrai ? Tu n’es pas fâché ?

- Au contraire ! Ton intérêt me charme, et je crois qu’il devient urgent que je te montre le sous-sol.
- C’est vrai ?

J’étais vraiment contente. Je m’étais attendue à rencontrer de la résistance de la part de Caleb, mais finalement, ça avait été facile.
- Je me change et j’arrive. Attends-moi ici.
- Je t’assure que je ne vais pas bouger !
Oh non, je ne bougerai pas.

Je n’eus pas longtemps à attendre.
- Je veux que tu saches que ce que tu vas voir en bas est différent de ce qui se trouve ici, dans les étages du manoir.

- Le sous-sol est mon antre, mon domaine, et tu y seras toujours la bienvenue, si tu as envie de m’y retrouver.
- J’aurais toujours envie de t’y retrouver, Caleb.

- J’en suis certain, mais tu risques d’être surprise par ce que tu vas y voir.
- Je ferai avec, ne t’en fais pas.

Je sentais Caleb tout content, et tout excité de me faire cette visite, ce qui me fit regretter de ne pas lui en avoir parlé plus tôt.

Il s’arrêta et fit volte-face.
- N’oublie pas. Il n’y a rien de comparable entre le sous-sol et le reste du manoir.
- J’ai compris, je t’assure.

- Alors, c’est parti, ma douce !

En bas de l’escalier, il y avait deux portes ; une en face et l’autre à droite.

Caleb ouvrit la porte située face à l’escalier et s’arrêta un moment.
- Et voilà, mon cœur. Nous y sommes.

- Tu es dans l’antichambre de la tanière du vampire.
- C’est grand...

La pièce était immense. Il y avait là les deux bibliothèques dont Samuel m’avait parlé et deux bureaux. Près de l’un d’eux, plusieurs diplômes étaient accrochés au mur. Caleb en avait eu beaucoup au cours de sa vie et il ne les avait pas tous accrochés.
- L’autre bureau est le tien. J’y ai mis ton acte de naissance... me dit Caleb.

Il avait aussi conservé la croix du Créateur, qui était dans ma famille depuis des générations, et qui se trouvait dans ma chambre avant que je ne quitte Windenburg. Cela me faisait plaisir de la revoir.
- Je savais que tu serais heureuse la voir ici, me dit-il
- Oui et elle va très bien dans le décor. Caleb, tu ne trouves pas qu’il y a beaucoup d’espace perdu dans cette pièce ?

- C’est volontaire. Cette pièce est aussi une salle de combat.

J’avais du mal à cacher mon étonnement :
- Une salle de combat ? Comment ça ?
- C’est ici que Lilith et moi nous entraînons au combat.

J’allais de surprise en surprise.
- Tu te bats avec Lilith ?
- Oui, nous combattons. Et parfois jusqu’au sang. Lilith est très forte, tout comme moi. Elle m’a plusieurs fois cassé un membre. Mais je l’ai laissée sur le carreau plus d’une fois aussi.

Caleb stoppa net son explication, car il dut voir ma stupéfaction. Dans son engouement de tout me raconter, il avait sûrement oublié que certains détails, amusants pour lui, pouvaient être durs à comprendre pour moi.
- Ne fais pas cette tête, Rose...

- Nous sommes des vampires, nous sommes immortels. Et nos blessures guérissent très vite. C’est juste un mauvais moment à passer pour nous. Rassure-toi, il ne peut rien nous arriver.
Ses paroles ne me tranquillisaient pas vraiment.
- C’est tout de même violent...

- C’est très violent, oui, mais tu sais que je suis violent, Rose.
- Oui, je le sais...
Mais de là à m’imaginer qu’il pouvait se battre avec sa propre sœur jusqu’à lui casser un membre...

- On va changer de sujet. Les trois volumes de l’Encyclopédie Vampirique sont ici. Tu pourras te servir quand tu veux.
- C’est magnifique ! Merci Caleb
- Par contre, il est très important de commencer par le premier volume et des lire les ouvrages dans l’ordre. Sinon, ils seront incompréhensibles pour toi.

- Parfait. Je ferai comme tu dis.
- Lorsque tu auras fini les trois volumes, je te donnerai le Compendium ultime. Il te suffira de me le demander.

- C’est très gentil, je te remercie. Est-ce que tu peux me dire ce qu’il y a derrière l’autre porte ?
- Juste derrière toi, il y a un petit local dans lequel j’ai mis le coffre de Cassandre.

- Je te parlais de la porte qui est à droite de l’escalier.
- J’avais compris. Tu es sûre de vouloir savoir ?
- Bien sûr !
- Ça va être un peu compliqué pour moi... mais je vais te faire voir.

Je vis tout de suite en entrant dans cette pièce que nous entrions dans le vif du sujet. Ici aussi, il y avait un orgue majestueux mais surtout, deux cercueils richement décorés trônaient en son centre. Leur vision me glaça le sang...

- Je sais que tu ne t’attendais pas à ça, mais voici ma tanière. C’est ici que je viens me régénérer et que je rentre en méditation. Cette pièce me calme et me repose.
Je n’arrivais pas à détacher mon regard des deux imposants cercueils.
- Caleb... Ce sont qui, les morts dans les cercueils ?

- Des morts ? Oh mais non ! Ces cercueils sont vides.
Quel soulagement !
- Pourquoi sont-ils là alors ?

- L’un d’eux est le mien. Il me sert de couche. Lorsque je viens y dormir, je régénère mon énergie beaucoup plus vite.
- C’est complètement dingue !

- Tu veux dire que tu dors dans un cercueil ! Tu laisses le couvercle ouvert, au moins ?
- Non, je le ferme. Tous les vampires font cela, Rose. Nous avons tous un cercueil. Et nous en avons besoin. La vie éternelle est très longue et parfois, il devient nécessaire de faire une pause. Alors, nous hibernons, grâce au cercueil... Il m’est ainsi parfois arrivé d’hiberner pendant une décennie.

- Je comprends bien. Mais je vois ici deux cercueils... A qui appartient le deuxième ?

- Il aurait été à mon épouse si celle-ci avait été un vampire. Il sert donc simplement de décoration.
- Tu ne regrettes pas ? Que je ne sois pas un vampire ?
- Oh mais non, pas du tout ! Je suis tellement heureux avec toi.

Je m’étais approchée d’un tableau représentant un horrible personnage, qui se trouvait sur le mur du fond.
- Et celui-là, qui c’est ?

- Lord Draco, Mon Maître. Celui qui m’a transformé mais qui m’a aussi tout appris.

- Mon Maître ? Tu as l’air de le vénérer.
- On vénère toujours son Maître. Ces liens-là sont des liens puissants, indescriptibles.

- Il a vraiment une tête à faire peur. Tu es bien plus beau que lui.
- Tous les vampires ont cette tête-là. Enfin plus ou moins.

- Je t’assure que non. Tu ne lui ressemble pas du tout.
- Parce que tu ne connais que ma forme humaine

- Ma forme sombre est bien moins attrayante.
- Mais pourquoi ne m’as-tu jamais parlé de tout ça ?

- J’y avais fait allusion une fois, le jour où je t'ai emmenée à la Vallée Oubliée pour la première fois. Mais tu n’avais pas relevé.
- J’en suis désolée...
- Ne t’inquiète pas pour ça. Je n’avais pas envie de m’étendre sur le sujet, de toute façon. Il était hors de question que je te fasse peur.
- J’aimerais que tu me montres ta forme sombre...

Caleb ne voulait pas que j’ai peur de lui. Il ne l’avait jamais voulu, malgré notre vie si particulière... sa violence et ses coups de sang...
- Je ne sais pas si c’est une bonne idée...
- Caleb, s’il te plait ! Tu es mon mari. Tu pourrais m’accorder cette faveur, non ?

- Très bien. Comme tu veux. Mais je t’aurais prévenue. Ce n’est pas beau à voir.

Il tourna alors sur lui-même, enveloppé d’un brouillard sombre et épais.

Lorsqu’il en ressortit, il n’était plus le même. Il poussa une sorte de grognement et j’eus un mouvement involontaire de recul.

Il esquissa un petit sourire et me regarda avec des yeux roses. Malgré ce changement, j’arrivais à le reconnaître.
- Maintenant, tu sais vraiment tout de moi.

Oui... C’est sûr... Je restais figée... Quel changement tout de même. Sa peau était grise et craquelée... Il faisait froid dans le dos.
- Rose ?

J’entendis subitement la voix de Caleb.
- Peux-tu arrêter de me dévisager comme ça s’il te plait ? C’est toi qui me fais peur.

Je me ressaisis très vite.
- Oh pardon ! C’est juste que tu es tellement différent !
- Ça oui... Je le sais bien.

- Et tu n’es pas si moche que ça !
- Ah non ?

Le ton de Caleb était un tantinet ironique. Il ne me croyait pas.
- Non, vraiment.
- Tu n’irais quand même pas jusqu’à dire que je suis beau, j’espère... Parce que je sais exactement à quoi je ressemble.

Je ne flancherai pas... Je devais m’habituer à sa forme sombre. Dedans, il y avait mon Caleb, et je ferai tout pour qu’il ne sente pas ma répulsion.
- Et tu sais que je déteste le mensonge.
- Caleb, je te trouve très bien. Effectivement, tu n’es peut-être pas si beau qu’en humain, mais pour un vampire, tu es pas mal. Il n’y a qu’à regarder l’autre là-bas derrière, sur le tableau.

- Tu ne serais donc pas dégoûtée si je venais t’embrasser...
- Je suis étonnée que tu ne l’aies pas déjà fait.

Oh mon Dieu, pourquoi avais-je dit cela ? C’était une provocation. Caleb s’était levé aussitôt.
- Si j’aperçois une seule grimace sur ton visage, il y aura des représailles et, crois-moi un vampire sous sa forme sombre est beaucoup moins tendre qu’un vampire sous sa forme humaine.

Je réprimai un frisson et Caleb m’embrassa. Son baiser était aussi troublant, voire beaucoup plus passionné, que ceux qu’ils me donnaient habituellement. Je fondis, sans effort, dans ses bras.

- Tu étais vraiment sincère, alors ?
- Bien sûr. Je sais qu’il m’en aurait coûté de te mentir. Et puis je t’aime, mon amour. Peu m’importe ton apparence.

Et j’étais encore sincère. Je sentis tout son corps se relâcher. Il était soulagé. J’avais atteint mon but.
- Moi aussi, je t’aime. Chaque jour que je passe auprès de toi me fait t’aimer davantage. Tu es tellement belle. Et je ne parle, ni de ton corps, ni de ton visage mais seulement de la personne que tu es. Tu es magnifique.
- Oh, Caleb...

- Il serait peut-être temps que je change d’apparence, non ?
- Comme tu veux. Je commence à m’habituer à ta forme sombre.

Caleb entreprit cependant de retrouver sa forme humaine, et je le préférais nettement ainsi.
- Tu m’as comblé une fois de plus, ma douce.


- Façon de parler, j’entends, se reprit mon mari.
- Bien sûr.
Mais il l’avait dit, même si cela lui avait échappé. Nous l’avions dit.

Hahaha, j'avoue que je m'attendais à pire, moi aussi, sûrement aussi en raison d'une habitude des VDCs ! Bouuuuhhh, une salle de combat et des cercueils, j'ai peur !!! 😂 Après, oui, pour une novice comme Rose, il y a sûrement un petit quelque chose de déroutant.
Cette relation tient plutôt bien la barque, ma parole. Effectivement, Rose s'y satisfait et apprend même à aimer ça... Encore une fois, grand bien lui fasse.
Quant à la petite phrase, eh bien... advienne que pourra mais au moins, on sait qu'ils sont tous les deux sur la même longueur d'onde... tout au fond d'eux ! J'ai hâte de voir comment cette micro-idée va se développer 😉
Hé oui, c'est dit... L'idée que Rose devienne vampire va faire son chemin dans leurs esprits. Un tournant s'opère! Bon, Rose s'est extrêmement bien habituée à ce style de vie très particulier. Elle est heureuse, c'est l'essentiel. Et toujours pas de nouvelles de ses parents... Elle doit un peu s'ennuyer quand même toute la journée seule, attendant le retour de Caleb 😅 Et la phrase qui m'a tuée: "Il me sortait"... Au secours😂 J'avoue que j'imaginais pire pour le sous-sol, après l'interdiction que Caleb avait fait à Rose d'y descendre! Je l'imaginais beaucoup plus lugubre, avec des cellules pour des prisonniers humains... l'habitude des VDC sans doute 😂 Effectivement, Rose connaît son vampire de mari à 100% maintenant; enfin à priori. Et si sa forme…