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G7/ Chapitre 5 - Retour à Windenburg

  • Photo du rédacteur: Nathalie986
    Nathalie986
  • 13 avr.
  • 11 min de lecture

Dernière mise à jour : 20 avr.


Lorsque nous arrivâmes à Windenburg, Maman et Morgane nous attendait de pied ferme.

-          Qu’est-ce que je suis contente de te voir ! s’enjoua Morgane, en se précipitant vers Rose.


Maman nous encouragea ensuite, à aller prendre possession de nos chambres. J’étais tellement content de retrouver ma chambre d’ado !

-          Ah ! Ma chambre ! Elle est pareille à ce qu’elle était lorsque je suis parti.

-          C’est bien le problème...

Le ton de Maewenn me refroidit quelque peu.


-          Tu penses que tu pourras enlever toutes ces affiches d’un autre temps ?

-          Quoi ? Qu’est-ce qu’elles ont ces affiches ?


Rose allait dormir avec Morgane. Elle avait déjà pris possession des lieux et trouvé une place à son cartable, ses tubes de bulles, son affiche et ses boules à neige.

 

Je pensais que mon retour dans la maison familiale aurait été difficile. Je me trompais.

 

C’était comme si je n’étais jamais parti. Je retrouvais mes marques, mes repères, et les bonnes discussions avec ma mère et ma sœur. J’étais très heureux.

Toutes ces parties de rigolade m’avaient bien manquées. Et j’eus enfin la réponse à la grande question : oui, Ludovic était bien le petit ami de Morgane ! Apparemment, tout le monde le savait, sauf moi !


Ce soir-là, le festival de l’amour était à San Myshuno. C’était le seul festival auquel je ne m’étais pas encore rendu. Je décidai d’y emmener Maewenn. Maman s’était, tout naturellement, proposée pour garder Rose. Prendre la décision de vivre à Windenburg était définitivement un très bon choix.


J’avais une petite idée derrière la tête. Je voulais que nous renouvelions nos vœux de mariage...

-          C’est une très bonne idée, ça, Léandre.

Maewenn avait accueilli ma proposition avec enthousiasme.


14

-          Le seul hic, c’est qu’il va falloir trouver l’arche de mariage.

-          Nous la trouverons. Cet endroit n’est pas si grand.

-          Tu ne trouves pas que cette boisson nous rend un peu tout choses... ?


Elle avait raison. Une envie soudaine me surpris et je me mis à balancer des pétales de roses sur ma femme.

-          Comme c’est joli !

-          Tu es merveilleuse au milieu de tous ces pétales !


Nous trouvâmes l’arche assez facilement et pûmes échanger nos vœux, une nouvelle fois. Ma femme, ma princesse, je l’aimais pour la vie.


Quelques jours plus tard, dans la soirée, toute la famille était réunie au salon. Rose avait fini de lire tous les tomes de « La mission Chevalier » expliquée aux enfants de la famille, y compris ceux que sa mère avait écrits, et elle était en train d’en parler avec passion. Depuis que nous étions revenus à Windenburg, Maman s’était d’ailleurs chargée de son éducation concernant la destinée de la famille.


Alors que lorsque nous habitions San Myshuno, Maewenn travaillait souvent à la maison, maintenant cela devenait de plus en plus rare. Elle prenait la voiture et allait passer sa journée de travail dans les locaux de son employeur. J’étais attristé qu’elle ne soit plus aussi présente mais je comprenais.

-          Ta journée s’est bien passée, ma chérie ?

-          Très bien. On nous a amené de nouvelles œuvres d’art à examiner.


-              Quelles splendeurs ! J’en ai eu plein les yeux !

Morgane arriva à ce moment-là avec Ludovic.

-          Bonsoir tout le monde !


-          Bonsoir, ma chérie, bonsoir Ludovic. Ça va, tous les deux ? les accueillit Maman.

-          Oh oui ! s’écria presque Morgane.

Je me demandais ce qui la rendait si enthousiaste.


-          Alors comme ça, tu es le petit ami de ma sœur ? dis-je à Ludovic après l’avoir salué.

-          Ben oui... Tu vis dans ta bulle ou quoi ? Ça fait un moment qu’on est ensemble.

Morgane nous interrompit.

-          Vous parlerez de ça plus tard. On a un truc hyper important à vous dire.


Et elle continua sur sa lancée :

-          Ludovic et moi, on va se marier !

Tandis que Maman se déclara enchantée par la nouvelle, de mon côté, j’accusais violemment le coup. Mais depuis quand ma petite sœur avait-elle tellement grandi au point d’être en âge de se marier ?


Morgane et Ludovic envisageaient de se marier aux Prairies de San Myshuno. Maewenn leur confirma que c’était un très bel endroit, et se proposa, de même que Maman, pour organiser les festivités de leur grand jour.


-          Nous allons être beaux-frères, c’est pas génial, ça ? me dit Ludovic.

-          Collègues et beaux-frères, ça risque de faire beaucoup pour moi, plaisantai-je.


Mais je me levai pour lui souhaiter la bienvenue dans la famille. Je connaissais bien Ludovic. C’était un homme bien et je savais que ma sœur serait entre de bonnes mains, avec lui.


Quelques temps plus tard, j’entrainai Maewenn à San Myshuno. Cette ville me manquait beaucoup et je voulais absolument retenter un concours de karaoké. Ma femme invita Yann et Béatrice à se joindre à nous.


Lorsque j’arrivai dans la salle qu’on m’avait attribuée, je fus stupéfait par la médiocrité du chanteur qui avait le micro en main. Béatrice et ma femme n’avaient pas l’air de mon avis, et je soupçonnai même cette dernière de se retenir de danser. trouvais le chanteur médiocre mais Béatrice avait l’air enchantée et je sentais ma femme se retenir de danser. Sûrement par égard pour moi...


Lorsque mon tour arriva, je me saisis du micro, bien déterminé à tous les éblouir.


Béatrice et Maewenn chantaient en même temps que moi. Et Yann me regardait, bouche bée. Je donnai alors le meilleur de moi-même, encouragé par mes fans d’un soir.


Je savais que j’étais bon mais il me fallut tout de même céder la place à d’autres chanteurs qui prirent la suite.


Bien que j’eusse pu me défendre tout seul, je reconnais que j’aimais beaucoup ces moments où Maewenn prenait ma défense. Elle faisait toujours ça. J’adorais sa façon de m’aimer.


Une heure plus tard, nous entendîmes les résultats. J’avais réuni quatre-vingt-cinq points sur cent, un peu moins que la dernière fois, mais j’avais gagné ! Yann ne put que se rendre à l’évidence...


Béatrice avait commencé à exécuter une danse bizarre pour fêter ma victoire et, pris dans l’ambiance, je narguai mon meilleur ami.


La vie s’écoulait tranquillement à la maison O’connor. Je travaillais comme un fou, Rose s’installait souvent près de moi pour consulter « Simpedia » ...


...et Maewenn s’exilait dans notre chambre pour travailler à la première biographie qu’elle écrivait. Une biographie sur notre famille, sur moi.


Maman, elle, cuisinait toujours avec autant d’entrain. Je suis persuadé que le fait d’avoir à nouveau toute une famille à nourrir n’y était pour quelque chose. Maman rayonnait.


Lors de ce dîner, nous nous régalâmes du dernier plat qu’elle avait concocté.

-          Franchement, ces raviolis à la courge sont un vrai délice, la félicitai-je.


Puis je lançai la conversation sur le mariage de Morgane.


Maman n’était plus toute jeune. Heureusement, Maewenn la secondait.


Un peu moins de trois semaines plus tard, nous assistions donc au mariage de ma petite sœur avec Ludovic Manille.


C’était vraiment la cérémonie la plus cocasse qu’il m’eût été donné de voir. Ma sœur se surpassait. J’adorais. Puis la cérémonie prit fin.


Toutes les dames présentes avaient effectivement sorti leurs plus belles robes, toutes légères... Même Rose.


La soirée avançait. Cyrielle, la maman de Ludovic avait fait un joli discours sur nos deux tourtereaux. Apparemment, elle connaissait bien sa belle-fille, si pleine de fantaisie.


Je discutai avec ma petite sœur alors que tous s’étaient regroupés vers le bar. J’avais du mal à réaliser qu’elle était mariée. Pour moi, elle restait la petite bambinette à qui j’avais appris à danser.


La petite sœur de Ludovic, encore adolescente, nous réveilla d’un coup : « Et si nous dansions maintenant ? C’est quand même un mariage ! ».


Tout le monde se leva et fit honneur aux musiques choisies par Maman et Maewenn. Même le traiteur de la soirée vint nous rejoindre un moment et fit la fofolle. Elle s’intégrait parfaitement à notre famille de... fous !


La soirée arrivait à son terme. Il nous faudrait bientôt libérer la salle. J’en profitais pour prendre Morgane dans mes bras et lui dire combien je l’aimais.

-          Moi aussi frérot, moi aussi, me répondit-elle.


Morgane et Ludovic s’étaient installés chez nous. Il y avait donc une personne de plus dans notre univers. Et une personne de plus qui, elle aussi, trouvait de l’intérêt à Rose. Mon beau-frère passait son temps à lui enseigner les échecs, et Rose l'écoutait avec attention. Elle l'avait tout de suite appelé Tonton.


Maewenn, elle, allait de plus en plus souvent travailler à San Myshuno, et, le soir, elle s’enfermait dans notre chambre pour écrire.


Maman faisait de même. Elle s’était lancée dans une nouvelle biographie, m’avait-elle dit. Sûrement la dernière.

L’entendre parler ainsi me faisait mal mais j’étais conscient qu’elle n’était pas éternelle. Pourtant, elle avait l’air au mieux de sa forme.


Quant à moi, étant donné qu’il n’y avait personne au salon, je m’y réfugiais la plupart du temps pour y conclure des affaires professionnelles.


Mais parfois, le soir, nous étions tous réunis. C’était sincèrement aussi très agréable.


Ce jour-là, j’avais fait une petite promenade avec Maman, et cette dernière m’avait amenée jusqu’à son restaurant.

-          Le restaurant est fermé ? Sur l’heure de midi ?

-          C’est pour ça que je t’ai amené jusqu’ici. Pour te dire que j’avais vendu le restaurant.


-          Tu l’as vendu ? Mais pourquoi enfin ?

-          Premièrement parce que ta sœur ne veut pas le reprendre. Et deuxièmement, parce que je pense sincèrement que toi non plus.

-          Comment peux-tu le savoir ? Tu ne m’en as jamais parlé.


-          Parce que tu te vois gérer une affaire pareille ? Il faut être disponible pour ça.

-          Je dois malheureusement admettre que non. Mais peut-être que Maewenn... Elle adore faire la cuisine.

-          Un restaurant, c’est aussi une affaire de gestion. Gestion des coûts, du personnel, gestion des stocks ou encore achat des produits frais. Pourquoi crois-tu que j’aie dû embaucher deux chefs. Moi-même, je n’étais pas souvent en cuisine.


-          Je le sais bien. C’est pour ça que je te l’explique. Tu veux qu’on aille faire un tour une dernière fois ? Je donne les clés tout à l’heure.

-          Oui, d’accord.


-          Mais c’était ton restaurant ! J’ai du mal à imaginer que tout cela va disparaitre.

-          Ça ne disparaîtra pas. J’ai vendu à un restaurateur. Il compte juste éclaircir un peu le local qu’il trouve trop sombre avant d’ouvrir mais il m’a dit qu’il garderait le style. Et je trouve qu’un petit rafraîchissement lui fera du bien. Moi, j’avais tenu à garder les lieux intacts mais bon, le restaurant a quand même soixante-dix ans maintenant !

-          Tu veux dire que tu avais dix ans la première fois que tu es venue ici ?


-          Tout juste. Le lendemain du jour où les restaurants sont apparus, j’y suis allée avec Papa et Maman. Ils n’existaient pas avant.

-          Il a quand même une belle histoire ce restaurant.

Et cela me rendait d’autant plus triste qu’il n’appartenait plus à la famille. Mais Maman avait raison, c’était beaucoup trop de travail et, Maewenn et moi étions déjà suffisamment débordés comme ça.


Dès que le restaurant réouvrit, je décidai d’y amener Maewenn. Maman n’avait pas voulu venir car elle préférait le garder tel qu’il était dans ses souvenirs. Quant à Morgane, avec sa grossesse, elle était en ce moment si malade, que la moindre suggestion de nourriture lui retournait l’estomac. Elle refusa donc tout net.


La première chose que je découvris en arrivant était que le restaurant avait changé de nom. Ce n’était plus le « Resto de Windenburg ». Il était devenu le « Resto de Cassandre ».

Maewenn et moi trouvions que c’était un bel hommage à Maman qui était un chef triplement étoilé, connu de tout le monde sim.


Le nouveau propriétaire avait tenu parole. Il avait restauré le mobilier et les murs, changé la décoration mais nous retrouvions l’esprit du restaurant tel que nous l’avions connu. Et le tout était plus clair et lumineux.

-          Le plat du jour, ce sont des asperges au prosciutto. Je crois que je vais me laisser tenter, dis-je à Maewenn.


Le nouveau restaurateur avait aussi décoré avec des photos du restaurant, tel qu’il était à l’époque de Maman. Maman m’avait d’ailleurs dit avoir pris ces photos et les lui avoir confiées. Il y en avait même pris de l’extérieur.

-          Et toi, tu prends quoi ?

-          Je ne sais pas. Je regarde la carte mais les asperges me disent bien aussi.


La serveuse arriva alors.

-          Vous avez choisi, messieurs-dames ?

-          Oui. Nous allons prendre deux plats du jour et deux verres de vin de la sélection du sommelier.


-          Alors ? Que penses-tu de la nouvelle déco ? me demanda Maewenn.

-          J’avoue que je suis un peu triste de ne plus voir ces couleurs orangées auxquelles j’étais habitué et qui donnaient une certaine chaleur aux lieux...

-          Oui mais le restaurant est moins sombre comme ça, non ?


-          Je le reconnais. Et les tableaux choisis sont très sympas. En plus, le propriétaire a tenu à garder le même style. Et cela, ça me plait beaucoup. Il n’a pas cherché à moderniser à tout prix comme cela se fait beaucoup maintenant. Et toi ? Tu le trouves comment ?

-          Franchement, j’adore ! Mais bon... Je ne suis pas attachée à cet endroit comme toi tu l’étais. Et je n’y suis venue qu’une ou deux fois...

-          Mais ton opinion compte pour moi.


-          Alors je te le redis, j’adore ! Et si je te le dis, c’est que c’est sincère. Parce que mon style de restaurant, c’est plutôt « le Maritime ».

-          Le « Maritime » est un restaurant de poissons et fruits de mer. C’est un peu différent.


-          C’est vrai. Mais tu m’as demandé mon avis.

-          Oui et j’apprécie que tu adores le cet endroit. Cela me touche...


-          As-tu vu qu’il y a une photo de ta mère derrière le bar ?

-          Pas du tout, non.

-          De ma place, je la vois très bien. Et je suis sûre à 99% que c’est elle, jeune, avec sa robe de diplômée.


Lorsque le repas fut fini, je dis à ma femme que je souhaitais aller voir cette photo de plus près.

-          Mais oui ! C’est Maman. Le jour où elle a eu son diplôme. Je reconnais cette photo. Elle a longtemps été dans notre séjour. Je ne savais pas qu’elle l’avait donnée au nouveau propriétaire.


-          J’étais un bambin quand cette photo a été prise...


Maewenn avait discuté avec la barmaid qui lui avait appris qu’il y avait une autre photo de ce genre à l’entrée du restaurant. Nous n’y avions même pas fait attention en arrivant. Maman était sur la photo avec Papa.

-          C’est ton père... Je n’arrive pas à l’imagner autrement qu’avec ses cheveux gris. Pourtant, je l’ai connue étant enfant, avec des cheveaux roux.

-          Il était un exemple pour moi.

-          Je me souviens qu’il était très gentil. Même plus tard, lorsque nous étions adultes.


Un mois plus tard, nous nous retrouvions au salon pour discuter de l’anniversaire de Rose et du mien. Ils auraient lieu le même jour.


Le ventre de Morgane s’arrondissait de plus en plus.


Tout le monde se prit à rigoler car Morgane ne savait plus quoi dire... Maman riait tellement. Je me rappellerai toujours ce moment...


Puis Maman se reprit...


Maman se leva alors... Nous ne nous en étions pas aperçus car nous continuions à discuter.


Mais elle se sentit mal et s’écroula soudainement à terre.


Nous réalisâmes alors... La Faucheuse était là... Et le cri de Morgane... Il me perça le cœur et les tympans...


Morgane, ma petite sœur, si fragile de par sa grossesse... Comment allait-elle supporter tout cela ? La perte de notre mère...


Je m’approchai d’elle, essayant de la consoler... J’essayai de trouver les mots.


-          Ça va aller, nous sommes tous les deux. Et tu dois aussi penser à ton bébé.


-          C’est une petite fille... On l’a su ce matin...

-          Alors pense à elle. Maman n’aurait pas voulu qu’il lui arrive malheur.


-          Merci pour tes paroles, frangin...

-          Toi et moi, nous avons la même douleur... et je suis ton grand frère.


-          Si tu as besoin, tu viens frapper à la porte de ma chambre. Je serai toujours là pour toi.

-          Je le sais bien...

-          Même la nuit. Morgane, on va s’en sortir... même si c’est dur...


Après l’enterrement de Maman, tout le monde s’en fut. Nous restâmes seuls, Morgane, Rose et moi.

 

Rose était inconsolable. Intérieurement, j’étais heureux qu’elle n’ait pas assisté au décès de Maman.


Je me sentais vraiment impuissant, comme chaque fois dans ce genre de situation.

-          Ça va aller, Rose, ça va aller...

Je ne savais dire que ça.


Heureusement, ma petite sœur était là pour la réconforter.

 

Et elle faisait cela beaucoup mieux que moi...


2 Comments


Eljisim
Apr 14

On avance à pas de géant, dans ce chapitre !


"Mais depuis quand ma petite sœur avait-elle tellement grandi au point d’être en âge de se marier ?"


Haha, on se pose exactement la même question ! 😂 Morgane a bien grandi, c'est certain. Et après le mariage, voilà le bébé ! La maison va être très active, décidément ;)


Je sens lentement mais sûrement venir l'eau dans le gaz entre Léandre et Maewenn... Elle ne se plait pas à Windenburg et je continue de croire qu'à ce rythme, le couple ne va pas tarder à être en péril...


Je ne m'attendais pas à la mort de Cassandre. Enfin pas tout de suite en tout cas 😥 C'est tout de même…


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Nathalie986
Nathalie986
Apr 20
Replying to

La fille de Morgane ne rentrera pas en ligne de compte dans la succession. Les dés sont jetés. Rose sera l'Elue de la G8 😉 Et évidemment, le fameux collier lui revient, c'est une évidence.


De l'eau dans le gaz entre Maewenn et Léandre ? 😮 Mais ils s'aiment trop, ces deux-là ! Il est vrai cependant que Maewenn ne se plait pas du tout à Windenburg. Mais, par amour, elle va rester encore un peu 😉

Morgane a vite grandi... Je dois reconnaitre que j'avais tellement hâte de jouer avec les vampires que cette génération est l'une des plus courtes, en nombres de chapitres, que j'ai écrite. 😊

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